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La rectrice de la VUB, Caroline Pauwels, signe un accord sur l'institut FARI AI avec l'ULB et la région de Bruxelles.

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VUB Press

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Les recteurs de la VUB et de l’ULB, Caroline Pauwels et Annemie Schaus, ont signé l’accord sur le FARI, le nouvel Institut AI pour le Bien Commun à Bruxelles. Cette signature, avec Barbara Trachte, secrétaire d’État bruxelloise à la recherche scientifique, fait suite à la récente décision du gouvernement régional bruxellois d’approuver une subvention d’Innoviris pour l’ULB et la VUB. Cette subvention de 5,1 millions d’euros est destinée au développement de FARI et s’inscrit dans le cadre du plan national de relance et de résilience.

FARI permettra d’utiliser l’intelligence artificielle dans la transition verte et contribuera à relever les défis sociétaux auxquels Bruxelles est confrontée : santé et bien-être, environnement, mobilité et énergie. En outre, le projet permettra à la région de mener des projets à fort impact et de répondre aux défis environnementaux et numériques, ainsi que de réaliser les ambitions de l’Union européenne en matière de transition verte et de transformation numérique.

Les projets et activités du FARI impliqueront activement les citoyens et renforceront l’éducation à l’IA et son impact dans la région. Le FARI contribuera également à créer des ponts entre les experts, les citoyens, les entreprises et les organisations locales. À cette fin, l’institut sera composé de trois pôles : un pôle de recherche et d’innovation, un groupe de réflexion axé sur l’IA, les données et la société, et un pôle de test et d’expérience de l’IA.

Le projet s’inscrit dans les orientations du plan régional d’innovation approuvé par le gouvernement en juillet. Il sera basé sur le campus numérique BeCentral, à Central Station.

Barbara Trachte : “Je me réjouis de cette coopération entre l’ULB et la VUB. Grâce au FARI, elles disposeront d’un institut performant pour le développement de l’intelligence artificielle afin de répondre aux nombreux défis sociaux auxquels les Bruxellois sont confrontés. Avec cette approche ” au service de l’intérêt général “, la Région entend se positionner comme pionnière dans l’utilisation de l’intelligence artificielle, en permettant à l’écosystème d’innovation bruxellois de se démarquer grâce à une proposition de valeur forte, différenciée et engagée.”

Annemie Schaus : “Je suis particulièrement heureuse que notre université contribue à un projet qui promeut une intelligence artificielle fiable, sans but lucratif, transparente et ouverte et qui place l’intelligence artificielle au premier plan des besoins de la société, tout en tenant compte de ses implications sociétales et de ses dimensions éthiques.”

Caroline Pauwels : “Nous sommes très heureux et reconnaissants que la Région bruxelloise pèse de tout son poids dans le projet FARI. Cela nous permettra de mettre ce centre d’intelligence artificielle multidisciplinaire au service de l’individu et de la société. Le FARI se concentrera principalement sur les aspects humains de l’IA, des données et de la robotique. Le développement socialement responsable et significatif de l’intelligence artificielle est un élément fondamental du FARI. La coopération avec les citoyens, les entreprises et le secteur public est essentielle à cet égard, et la recherche conjointe des groupes de l’ULB et de la VUB agit comme un levier de positionnement régional dans ce domaine. De cette manière, nous contribuons au dialogue social, au tissu écologique de la région et à son économie durable.”

Publié à l’origine ici

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Mots-clés

AI

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FARI

NextGenEU

Robotics

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